Partage d'expérience avec Valentin Pidoux, fondateur de Marsco
Partager son quotidien avec Valentin est très agréable : il est toujours souriant, optimiste et enthousiaste. C’est un passionné et un créatif ! Il a un parcours fait de zig zag entrepreneuriaux, titulaire d’un BEP en horticulture mais aussi diplômé du conservatoire libre du cinéma français, il a été dirigeant d’un restaurant, d’un bowling, il a réalisé son propre court métrage.
Le dénominateur commun de ces expériences? Le goût du challenge qui lui a été transmis par sa famille! Il se lance aujourd’hui dans un nouveau challenge avec son projet Marsco né de sa passion pour le cinéma. Il se qualifie sur son profil Linkedin de “décompositeur de vidéos sur papier”.
On dirait un zig zag digne de son expérience passée non? En fait, Marsco a deux facettes. La première c’est une application téléchargeable sur Appstore qui permet à chacun de décomposer sa propre vidéo et recevoir l’affiche créée chez soi.
La seconde c’est la vente de ces affiches pré créée à partir de films connus. Il évoque lors de notre discussion une scène tirée de Taxi driver lorsque De Niro baisse son pistolet. Le Marsco créé décompose image par image cette scène d’anthologie.
Les gens les achètent car cela leur rappelle des sensations, des émotions liées au film tout en proposant une nouvelle lecture de cette image, cette fois-ci figée.
Pour Valentin, un Marsco ce n’est pas une affiche lambda, c’est une œuvre picturale. Il parle d’ailleurs d’un nouveau moyen d’expression ou du 8ème art et demi, le 8ème étant notamment la photo.
A la question “jusqu’où voudrais-tu emmener Marsco?” Valentin répond : “jusqu’à sa propre boutique”. Sur le même modèle que Yellow corner, eux spécialisés dans la photo, Marsco mérite sa propre boutique où des secondes de vidéos sont décomposées sur un support papier.
Un Marsco peut se perdre dans des boutiques de cadeaux, déco. Son rêve ?
Que Cédric Klapisch l’appelle un jour pour lui proposer un Marsco ! Et si jamais vous vous demandez pourquoi le produit s’appelle Marsco, vous n’avez qu’à écouter le podcast ;)